La Jordanie, Israël et l'Autorité palestinienne sont tombés d'accord sur le principe du plan de sauvetage de la mer Morte conçu par Amman, a indiqué lundi le ministre de l'Eau jordanien Hazem Nasser.
"Nous sommes parvenus à un accord de principe (...) sur le lancement d'une étude de faisabilité détaillée" de ce projet, a dit M. Nasser en marge du Forum économique mondial (WEF) qui a clôturé ses travaux lundi à Shouneh, sur la mer Morte.
Il a indiqué avoir rencontré le ministre des Infrastructures israélien Yossef Paritzki et le ministre du plan Palestinien Nabil Qassis, qui lui ont donné leur aval pour ce projet de construire un canal entre la mer Morte et la mer Rouge.
Les trois riverains de la mer Morte veulent réaliser ce plan avec l'aide de la Banque mondiale, qui avait effectué en 1997 une étude préliminaire de faisabilité pour ce projet, dont le coût total est estimé par les experts à 1,5 milliard de dollars.
Ce plan, présenté par la Jordanie lors du sommet de la Terre de Johannesburg en 2002, prévoit de renflouer la mer Morte, lac naturel le plus salin de la planète et point le plus bas du monde, grâce à une alimentation en eau venant de la mer Rouge.
Certains experts craignent que, si rien n'est fait, la mer Morte disparaisse au cours des 50 années à venir.
Il a indiqué avoir rencontré le ministre des Infrastructures israélien Yossef Paritzki et le ministre du plan Palestinien Nabil Qassis, qui lui ont donné leur aval pour ce projet de construire un canal entre la mer Morte et la mer Rouge.
Les trois riverains de la mer Morte veulent réaliser ce plan avec l'aide de la Banque mondiale, qui avait effectué en 1997 une étude préliminaire de faisabilité pour ce projet, dont le coût total est estimé par les experts à 1,5 milliard de dollars.
Ce plan, présenté par la Jordanie lors du sommet de la Terre de Johannesburg en 2002, prévoit de renflouer la mer Morte, lac naturel le plus salin de la planète et point le plus bas du monde, grâce à une alimentation en eau venant de la mer Rouge.
Certains experts craignent que, si rien n'est fait, la mer Morte disparaisse au cours des 50 années à venir.