POLITIQUE. La proposition de modifier la loi de 1977 sur l'architecture ne fait pas l'unanimité dans la profession. L'Académie d'architecture, inquiète des conséquences potentielles, propose des alternatives.
La potentielle modification de la loi du 3 janvier 1977 sur l'architecture fait encore parler d'elle. Après l'annonce, à l'automne 2024, du Conseil national de l'Ordre des architectes (Cnoa) de vouloir inscrire la réhabilitation dans la loi et le soutien de plusieurs organisations, dont le Syndicat de l'architecture qui avait lancé en novembre une pétition, le sénateur Pierre-Jean Verzelen a déposé, le 9 décembre, une proposition de loi en ce sens.
Ces actualités n'ont pas manqué de faire réagir l'Académie d'architecture, qui a publié un avis adressé à la presse. Dans ce texte, elle dit exprimer "les plus grandes réserves devant toutes les intentions louables mais périlleuses de sa modification". L'institution craint que cette loi considérée comme un "bien commun" soit "mise en danger" par "des intérêts particuliers".
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