L’adjoint au Transport de la Ville de Paris, Denis Baupin a estimé mardi à «plusieurs dizaines de milliers d'euros» les dégâts occasionnés par le passage des chars Leclerc sur les Champs Elysées, lors du défilé du 14 juillet.
Denis Baupin a indiqué à l’AFP avoir fait réaliser des photos avant et après le passage des chars Leclerc. Et d’y voir la démonstration qu'il n'était «pas pertinent de faire circuler ces chars sur la voierie parisienne, surtout par temps de canicule», et «qu'il aurait été préférable de les faire défiler sur des camions comme l'année précédente».
«En une quarantaine de points, sur les Champs Elysées et la Place de la Concorde, des bandes blanches ont été arrachées ou détériorées, des marquages de files de circulation sont à refaire», a-t-il.
D'ores et déjà, il a chiffré à «plusieurs dizaines de milliers d'euros» le coût de la remise en état des chaussées détériorées. Et d’ajouter que la Mairie allait «faire étudier par les services municipaux le coût de la remise en état» de la chaussée et qu'elle allait «présenter la facture au ministère de la Défense». «La Mairie a toujours été claire en affirmant que s'il y avait des dégâts, ils devaient être pris en charge par leurs auteurs», a ajouté Denis Baupin.
«En une quarantaine de points, sur les Champs Elysées et la Place de la Concorde, des bandes blanches ont été arrachées ou détériorées, des marquages de files de circulation sont à refaire», a-t-il.
D'ores et déjà, il a chiffré à «plusieurs dizaines de milliers d'euros» le coût de la remise en état des chaussées détériorées. Et d’ajouter que la Mairie allait «faire étudier par les services municipaux le coût de la remise en état» de la chaussée et qu'elle allait «présenter la facture au ministère de la Défense». «La Mairie a toujours été claire en affirmant que s'il y avait des dégâts, ils devaient être pris en charge par leurs auteurs», a ajouté Denis Baupin.
