REPORTAGE EN IMAGES. L'aéronef captif, installé depuis 1999 par la société Aérophile dans le parc André Citroën, flotte à nouveau au-dessus de la capitale. Au départ dédié à l'étude de la pollution atmosphérique, l'engin bardé de capteurs se transforme en véritable laboratoire volant. Un consortium scientifique vient d'être créé pour étudier les données collectées avec comme partenaires le CNRS et l'ECMWF, un organisme international délégataire du programme européen sur le climat Copernicus.


Il a fait voler au-dessus des toits de Paris plus de 1,5 million de personnes depuis sa mise en service il y a 26 ans, reprenant la longue tradition des ballons captifs récréatifs lancée à la fin du 19ème siècle par l'inventeur français Henri Giffard.
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