L'organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (OMVG) qui regroupe 4 pays d'Afrique, souhaite obtenir une enveloppe de 856 millions d'euros dans le but de lancer un grand «projet énergie».
Des responsables du Sénégal, de la Gambie, de la Guinée et de la Guinée-Bissau, qui forment l'OMVG, sont actuellement en train de négocier un financement pour un projet énergétique de grande envergure.
Ce projet consiste à «fournir une énergie renouvelable, propre et à bon marché aux quatre pays de l'OMVG, avec la possibilité d'échange d'énergie électrique avec les autres pays de l'Afrique (?) et plus tard, le développement d'un marché de l'énergie électrique», explique l'OMVG dans un communiqué.
Cette initiative prévoit de construire «deux aménagements hydroélectriques» au Sénégal et en Guinée-Bissau mais également de mettre en place «une ligne d'interconnexion» d'environ 1.700 km pour les réseaux électriques des 4 pays membres de l'OMVG.
Ce projet devrait nécessiter une enveloppe globale de 856 millions d'euros. Les travaux pourraient commencer d'ici fin 2007, début 2008 pour une mise en service prévue en 2011-2012.
A noter que parmi les bailleurs, on retrouve des institutions régionales africaines, du Maroc, de l'Union européenne, de la Chine, du Japon et de l'ONU.
Ce projet consiste à «fournir une énergie renouvelable, propre et à bon marché aux quatre pays de l'OMVG, avec la possibilité d'échange d'énergie électrique avec les autres pays de l'Afrique (?) et plus tard, le développement d'un marché de l'énergie électrique», explique l'OMVG dans un communiqué.
Cette initiative prévoit de construire «deux aménagements hydroélectriques» au Sénégal et en Guinée-Bissau mais également de mettre en place «une ligne d'interconnexion» d'environ 1.700 km pour les réseaux électriques des 4 pays membres de l'OMVG.
Ce projet devrait nécessiter une enveloppe globale de 856 millions d'euros. Les travaux pourraient commencer d'ici fin 2007, début 2008 pour une mise en service prévue en 2011-2012.
A noter que parmi les bailleurs, on retrouve des institutions régionales africaines, du Maroc, de l'Union européenne, de la Chine, du Japon et de l'ONU.