Du côté de la consommation énergétique, les 709 logements rénovés et livrés en 2014 ont vu leurs qualités thermiques, acoustiques et d'usage améliorées. "Après un an de recul, on est en mesure d'affirmer que le projet garantit une consommation énergétique moyenne de 87,5 kWep/m²/an contre 168,7 avant les travaux", détaillent les porteurs du projet.
Par ailleurs, les unités d'habitation se sont progressivement fractionnées, et l'espace public a suivi la même logique : découpages, hiérarchisation plus progressive du public et du privé, réduction des espaces collectifs mal utilisés.
Chute "violente" de la maison individuelle : le Pôle habitat de la FFB en appelle à l'Etat
