Alors que plusieurs de leurs confrères conçoivent des hébergements à l'intérieur même du zoo, avec vue sur les enclos, cette option n'a cependant pas été celle choisie par le BioParc. L'originalité du site, s'étendant sur 17ha, n'étant pas forcément adapté.

 

C'est donc à l'extérieur de ses murs que le zoo a conçu sa première offre d'hébergement. Mais à proximité immédiate, les gîtes se situant sur un terrain de 8.000m2 acquis par le BioParc, initialement pour agrandir son parking et l'arborer. "Une maison d'habitation se trouvait sur cette parcelle. Plutôt que de la démolir, nous avons souhaité la réaménager en gîte et construire 5 petites sœurs à côté, pour accueillir notre clientèle", raconte Johanna Gay, directrice de BioParc hébergement, également à la tête du bureau d'études BioParc… et épouse de François Gay.

 

Un vrai plus, pour le BioParc, qui diversifie ainsi ses activités et espère capter davantage de visiteurs venant pour plusieurs jours. Mais aussi une façon "de leur faire profiter de tout ce que le territoire angevin a à offrir, car il y a beaucoup de sites à découvrir autour de nous. Créer ces hébergements à l'extérieur est un bon moyen de pousser la curiosité plus loin", estime la directrice. Une offre qui sera disponible toute l'année ou presque, alors que le BioParc, lui, est fermé entre novembre et février (sauf pendant les vacances scolaires).

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