Après 34 ans de vie à l'ancienne, une septuagénaire vient de s'offrir «un petit luxe» dans sa maison de Saint-Marcel-Bel-Accueil (nord de l'Isère) : la lumière électrique.
«Avec l'âge, je n'en pouvais plus», avoue cette «écologiste» d'avant l'heure dont la vie était jusqu'à aujourd'hui rythmée par le soleil.
«Tous les matins, j'allumais ma lampe à pétrole en me levant, puis ma cheminée et je l'éteignais quand il y avait un peu de lumière du jour, parce que bon, ça sent pas très bon le pétrole», raconte la septuagénaire. «Le soir, je rallumais quelques bougies pour coudre, ou lire».
Grâce à une aide du comité départemental d'habitat rural, elle a enfin accès à la lumière électrique. A une connexion au réseau EDF, trop onéreuse compte tenu de l'éloignement, les spécialistes ont préféré une l'installation solaire, plus économique et ... en harmonie avec la philosophie de la propriétaire de la ferme. Désormais une seule journée de soleil lui offre cinq jours de lumière garantie.
«Tous les matins, j'allumais ma lampe à pétrole en me levant, puis ma cheminée et je l'éteignais quand il y avait un peu de lumière du jour, parce que bon, ça sent pas très bon le pétrole», raconte la septuagénaire. «Le soir, je rallumais quelques bougies pour coudre, ou lire».
Grâce à une aide du comité départemental d'habitat rural, elle a enfin accès à la lumière électrique. A une connexion au réseau EDF, trop onéreuse compte tenu de l'éloignement, les spécialistes ont préféré une l'installation solaire, plus économique et ... en harmonie avec la philosophie de la propriétaire de la ferme. Désormais une seule journée de soleil lui offre cinq jours de lumière garantie.