Pas besoin de partir sur une île déserte à la recherche d'un trésor : un maçon, qui avait trouvé un coffret de pièces datant de la Renaissance sur un chantier, vient de vendre sa partie du butin à un prix deux fois supérieur à celui estimé par les numismates.
Attention, un chantier peut cacher un trésor ! Paulo Ferreira, un maçon qui avait trouvé sur le chantier de rénovation d'une maison du XVe siècle dans le Loir-et-Cher un coffret contenant plusieurs centaines de pièces d'or, vient de vendre sa partie du butin aux enchères. Les 285 pièces d'or et d'argent datant de la Renaissance ont rapporté au maçon 300.000 euros, soit deux fois plus que leur valeur estimée.
Mais il ne s'agit pas tout à fait d'un compte de fées : à la sortie de la vente aux enchères samedi, Paulo Ferreira et sa femme ont expliqué que la somme allait d'abord servir à éponger les dettes contractées depuis la découverte du trésor. En effet, après avoir partagé les 600 pièces que contenait le coffret avec le propriétaire de la maison, comme le prévoit la loi, le maçon, menacé par son patron qui estimait avoir lui aussi un droit sur le magot, avait dû démissionner et vivre sans indemnités pendant plusieurs mois.
Mais il ne s'agit pas tout à fait d'un compte de fées : à la sortie de la vente aux enchères samedi, Paulo Ferreira et sa femme ont expliqué que la somme allait d'abord servir à éponger les dettes contractées depuis la découverte du trésor. En effet, après avoir partagé les 600 pièces que contenait le coffret avec le propriétaire de la maison, comme le prévoit la loi, le maçon, menacé par son patron qui estimait avoir lui aussi un droit sur le magot, avait dû démissionner et vivre sans indemnités pendant plusieurs mois.