"La parcelle, à l'aboutissement du pont Dayde et du parc autour duquel s'organise le quartier, bénéficie d'une grande visibilité dans le paysage", nous rappelle Jean-Marc Ibos. Les architectes ont ainsi souhaité que la surface commerciale occupe la majeure partie du rez-de-chaussée sur un double niveau et de manière à ce que les 270 logements, en surplomb, soient scindés en trois entités afin de favoriser les perméabilités visuelles.
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Le bâtiment dans un moment de bascule chez Eiffage
