Des gendarmes ont été mis aux arrêts pour avoir désobéi à un ordre de… déménager. Motif du délit : la nouvelle caserne serait insalubre.
Les 22 musiciens de la gendarmerie mobile qui refusaient de quitter le fort d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) pour rejoindre les logements auxquels ils étaient assignés à Maisons-Alfort (Val-de-Marne) ont été mis aux arrêts.
Selon un communiqué de la gendarmerie, 22 des 78 musiciens de cette formation font l’objet d’une sanction disciplinaire pour refus d’obéissance. Ils sont assignés à résidence et doivent signaler leurs mouvements.
Les gendarmes, qui devaient s’installer dans la caserne de Maisons-Alfort le 30 juin dernier, s’y étaient refusés en invoquant l’insalubrité des bâtiments. La direction de la gendarmerie rappelle pourtant que les logements en questions ont subit une rénovation d’un montant de 145.000 euros. Mais l’avocat des 22 gendarmes, Me Renaud Rialland, estime que «nous ne savons pas si les logements mis à leur disposition à Maisons-Alfort ne sont pas contaminés par de l'amiante».
Leur action en justice devant le tribunal administratif a été débouté le 30 juillet, mais les gendarmes désobéissants ont également saisi la Commission des recours militaires, qui devrait rendre don verdict en septembre.
Selon un communiqué de la gendarmerie, 22 des 78 musiciens de cette formation font l’objet d’une sanction disciplinaire pour refus d’obéissance. Ils sont assignés à résidence et doivent signaler leurs mouvements.
Les gendarmes, qui devaient s’installer dans la caserne de Maisons-Alfort le 30 juin dernier, s’y étaient refusés en invoquant l’insalubrité des bâtiments. La direction de la gendarmerie rappelle pourtant que les logements en questions ont subit une rénovation d’un montant de 145.000 euros. Mais l’avocat des 22 gendarmes, Me Renaud Rialland, estime que «nous ne savons pas si les logements mis à leur disposition à Maisons-Alfort ne sont pas contaminés par de l'amiante».
Leur action en justice devant le tribunal administratif a été débouté le 30 juillet, mais les gendarmes désobéissants ont également saisi la Commission des recours militaires, qui devrait rendre don verdict en septembre.
