Le premier prix a été décerné à Paul Jaquet, Mattie Le Voyer et Jules Eymard, de l'Ensa de Nantes. « L'organisation de l'espace intérieur se fait en fonction de la structure, s'adapte à elle. Le pont Héron fait le lien entre la pointe est de l'île de Nantes et l'extrémité ouest de l'île Héron. Dans un futur proche, l'est de l'île de Nantes est aménagé, dans la continuité historique d'urbanisation des îles de la Loire. Aujourd'hui inaccessible, l'île Héron est préservée en un espace végétal. Le pont entre dans cette logique de terminaison de la
ville. Un complexe sportif articule le pont à l'île de Nantes. Relié à un ruban de quais qui se déploie sur la rive sud, il se prolonge sur le pont de manière fluide, sans césure"
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