Philippe Van de Maele, directeur général de lAgence nationale de rénovation urbaine (ANRU) a indiqué mercredi que 160 dossiers de rénovation de quartiers sont sur le point dêtre validés.
160 : tel est le nombre de dossiers pour la rénovation de quartiers prioritaires «en cours de finalisation» pour lannée 2006. Mais lANRU espère bien atteindre pour cette année son objectif des 188 quartiers prioritaires à rénover définis par le gouvernement et poursuivre «linstruction des dossiers des quartiers supplémentaires», a indiqué Philippe Van de Maele, qui s'exprimait au cours du 96ème congrès de l'Union sociale pour l'habitat (USH).
L'ANRU a également validé en juillet 341 quartiers supplémentaires portant leur nombre global à 530 qui pourront bénéficier d'une convention en partenariat avec les collectivités locales.
«La rénovation est sortie de terre et la transformation est perceptible au bout de deux ans (...). Au total, ce sont 3,4 millions d'habitants qui verront leur cadre de vie profondément modifié», a précisé Philippe Van de Maele. Et dajouter : «Cela bouge dans tous les domaines», citant notamment le relogement, la construction, la diversification de l'offre, développement des zones économiques et commerciales, les écoles.
En guise de conclusion, directeur général de lANRU a affirmé que l'un des soucis majeurs des responsables de ces projets est d'assurer aux locataires déplacés en raison des destructions ou des travaux de réhabilitation, des «niveaux de loyers similaires» pour des logements neufs ou rénovés.
L'ANRU a également validé en juillet 341 quartiers supplémentaires portant leur nombre global à 530 qui pourront bénéficier d'une convention en partenariat avec les collectivités locales.
«La rénovation est sortie de terre et la transformation est perceptible au bout de deux ans (...). Au total, ce sont 3,4 millions d'habitants qui verront leur cadre de vie profondément modifié», a précisé Philippe Van de Maele. Et dajouter : «Cela bouge dans tous les domaines», citant notamment le relogement, la construction, la diversification de l'offre, développement des zones économiques et commerciales, les écoles.
En guise de conclusion, directeur général de lANRU a affirmé que l'un des soucis majeurs des responsables de ces projets est d'assurer aux locataires déplacés en raison des destructions ou des travaux de réhabilitation, des «niveaux de loyers similaires» pour des logements neufs ou rénovés.