Trait d'union entre les industriels de la construction et les promoteurs immobiliers, le GIP - Groupement Industrie Promotion - vient de fêter son 15ème anniversaire. Une occasion pour Batiactu de dresser le portrait de cette association atypique.
Mardi 27 janvier, le GIP - Groupement Industrie Promotion - s'est offert un anniversaire «événement», dans les somptueux locaux de l'Automobile Club, place de la Concorde à Paris. Au programme : quelques discours, des bougies, deux spectacles de choix... et surtout beaucoup de convivialité parmi les 300 invités présents.
Durant la journée, ainsi que le mercredi 28 janvier, un autre événement avait lieu. En accord avec Marc Pigeon, président de la Fédération Nationale des Promoteurs Constructeurs (FNPC), les membres du groupement ont érigé un Village aux couleurs du GIP à l'occasion des journées d'études professionnelles de la FNPC. Sur plus de 150 m2, ce «village GIP» a exposé aux acteurs de la promotion immobilière, l'offre globale de service et de produit proposés par les 43 membres du groupement.
En effet, depuis sa création en 1989, le GIP n'a cessé de s'agrandir. Huit nouveaux membres ont rejoint la famille en 2003 - dont Airwell-Wesper, EDF et Mobalpa - ainsi que CIAT, le spécialiste du génie climatique, en 2004. «Aujourd'hui, le GIP est représentatif de l'ensemble des corps d'Etat du BTP. C'est un aspect essentiel pour nos partenaires, comme la FNPC ou l'Union Nationale des Economistes de la Construction (UNTEC)» explique Hervé de Saint Laumer, président du GIP.
En effet, il ne manque guère plus qu'un industriel du parquet pour que l'offre proposée par les membres du GIP soit exhaustive. «Nous nous fixons comme règle d'avoir deux industriels par corps d'Etat » précise Hervé de Saint Laumer levant ainsi tout ambiguïté quant au non respect de la concurrence. «Nos membres doivent bien sûr respecter certains critères comme une couverture nationale, une notoriété et une qualité reconnues...» poursuit-il.
L'anniversaire de ce groupement atypique a été également l'occasion de dévoiler la nouvelle identité visuelle du GIP. Pour 2004, le GIP se pare d'un nouveau logo et d'une base line qui affiche les ambitions du groupement : «Une stratégie d'alliance pour de nouveaux enjeux».
L'objectif des industriels est également renforcer la proximité régionale, notamment par la création d'une nouvelle présidence en Normandie.
Côté manifestation, le GIP se rendra à Besançon les 2, 3 et 4 juin 2004 pour le congrès de l'UNTEC et organisera ses deuxièmes universités d'automne à Lille, les 6 et 7 septembre.
Egalement en chantier pour 2004, le groupement devrait publier avec la FNPC la nouvelle édition du «guide d'utilisation du logement». Destiné à devenir un ouvrage de référence, ce guide à été pensé pour apporter une réponse exhaustive aux questions inhérentes au logement.
Le groupement poursuivra bien évidemment les actions engagées l'année dernière. Citons le projet «Maison d'en Ville» où les promoteurs de la régions misent sur l'avenir en réalisant trois opérations sur d'anciennes friches industrielles afin de revitaliser le quartier. Citons enfin le programme «traçabilité de la prescription» qui vient à fédérer les intervenants du chantier autour de la qualité, de la sécurité, de l'organisation et de la maîtrise des coûts. «En 2003, plus de 900 logements ont été traité dans le cadre de cette méthodologie» annonce Hervé de Saint Laumer.
Durant la journée, ainsi que le mercredi 28 janvier, un autre événement avait lieu. En accord avec Marc Pigeon, président de la Fédération Nationale des Promoteurs Constructeurs (FNPC), les membres du groupement ont érigé un Village aux couleurs du GIP à l'occasion des journées d'études professionnelles de la FNPC. Sur plus de 150 m2, ce «village GIP» a exposé aux acteurs de la promotion immobilière, l'offre globale de service et de produit proposés par les 43 membres du groupement.
En effet, depuis sa création en 1989, le GIP n'a cessé de s'agrandir. Huit nouveaux membres ont rejoint la famille en 2003 - dont Airwell-Wesper, EDF et Mobalpa - ainsi que CIAT, le spécialiste du génie climatique, en 2004. «Aujourd'hui, le GIP est représentatif de l'ensemble des corps d'Etat du BTP. C'est un aspect essentiel pour nos partenaires, comme la FNPC ou l'Union Nationale des Economistes de la Construction (UNTEC)» explique Hervé de Saint Laumer, président du GIP.
En effet, il ne manque guère plus qu'un industriel du parquet pour que l'offre proposée par les membres du GIP soit exhaustive. «Nous nous fixons comme règle d'avoir deux industriels par corps d'Etat » précise Hervé de Saint Laumer levant ainsi tout ambiguïté quant au non respect de la concurrence. «Nos membres doivent bien sûr respecter certains critères comme une couverture nationale, une notoriété et une qualité reconnues...» poursuit-il.
L'anniversaire de ce groupement atypique a été également l'occasion de dévoiler la nouvelle identité visuelle du GIP. Pour 2004, le GIP se pare d'un nouveau logo et d'une base line qui affiche les ambitions du groupement : «Une stratégie d'alliance pour de nouveaux enjeux».
L'objectif des industriels est également renforcer la proximité régionale, notamment par la création d'une nouvelle présidence en Normandie.
Côté manifestation, le GIP se rendra à Besançon les 2, 3 et 4 juin 2004 pour le congrès de l'UNTEC et organisera ses deuxièmes universités d'automne à Lille, les 6 et 7 septembre.
Egalement en chantier pour 2004, le groupement devrait publier avec la FNPC la nouvelle édition du «guide d'utilisation du logement». Destiné à devenir un ouvrage de référence, ce guide à été pensé pour apporter une réponse exhaustive aux questions inhérentes au logement.
Le groupement poursuivra bien évidemment les actions engagées l'année dernière. Citons le projet «Maison d'en Ville» où les promoteurs de la régions misent sur l'avenir en réalisant trois opérations sur d'anciennes friches industrielles afin de revitaliser le quartier. Citons enfin le programme «traçabilité de la prescription» qui vient à fédérer les intervenants du chantier autour de la qualité, de la sécurité, de l'organisation et de la maîtrise des coûts. «En 2003, plus de 900 logements ont été traité dans le cadre de cette méthodologie» annonce Hervé de Saint Laumer.
