Le ministère du Logement a indiqué lundi qu’une enveloppe supplémentaire de 14 millions d’euros sera allouée à la transformation de places d’hébergement d’urgence en structures d’accueil stables.
Le Plan d’action renforcé en faveur des sans-abri (Parsa) mis en place par le gouvernement en janvier dernier sera augmenté d’une enveloppe de 14 millions d’euros, a-t-on appris lundi auprès du ministère du Logement. Il s’agit de transformer les places d’hébergement d’urgence ne fonctionnant que de nuit, en structures d’accueil stables ouvertes toute la journée. 50 millions d’euros seront également débloqués afin d’assurer une veille sociale avant l’hiver, en complément des structures d’accueil.
Cette annonce intervient quelques jours après une déclaration des Enfants de Don Quichotte sur leur intention de replanter des tentes dans le centre de Paris, pour dénoncer le manque de places d’hébergement.
Augustin Legrand, porte-parole des Enfants de Don Quichotte et co-président du comité de suivi du Parsa, a par ailleurs indiqué mardi sur France Inter que Christine Boutin lui avait proposé une mission au ministère du Logement. Il a précisé qu’il n’avait pas encore pris sa décision, car il serait «idiot de dire non immédiatement» et qu’il faudrait d’abord «définir les contours» de cette mission. «Je n’accepterai une mission que s’il s’agit de mettre en opération de mise à l’abri. Il nous faut pour ça le déblocage de 12.000 places en maison-relais».
Cette annonce intervient quelques jours après une déclaration des Enfants de Don Quichotte sur leur intention de replanter des tentes dans le centre de Paris, pour dénoncer le manque de places d’hébergement.
Augustin Legrand, porte-parole des Enfants de Don Quichotte et co-président du comité de suivi du Parsa, a par ailleurs indiqué mardi sur France Inter que Christine Boutin lui avait proposé une mission au ministère du Logement. Il a précisé qu’il n’avait pas encore pris sa décision, car il serait «idiot de dire non immédiatement» et qu’il faudrait d’abord «définir les contours» de cette mission. «Je n’accepterai une mission que s’il s’agit de mettre en opération de mise à l’abri. Il nous faut pour ça le déblocage de 12.000 places en maison-relais».
