La Capeb et l'ANPE ont signé vendredi un accord-cadre pour une durée de trois ans. L'objectif : lutter contre les difficultés de recrutement, promouvoir le métier et faciliter la transmission d'entreprise.
Face à une pénurie de main-d'oeuvre dans le secteur du BTP, Jean Lardin, le président de la Capeb, et Christian Charpy, directeur général de l'ANPE, ont décidé de conjuguer «leurs efforts pour lutter contre les difficultés de recrutement».
Par cet accord-cadre, les deux signataires comptent tout d'abord attirer de nouveaux publics, notamment les femmes et les jeunes non qualifiés, vers les métiers du bâtiment. Concrètement, des immersions en entreprises et des tests d'aptitude (évaluations, plates-formes de vocation') seront ainsi proposés par l'ANPE, avec le concours de la Capeb, aux candidats concernés.
Et pour une insertion durable, l'accent sera porté sur l'amélioration des conditions d'accueil et sur la mobilisation des prestations d'accompagnement dans l'emploi pour les candidats recrutés qui en auront besoin.
Cet accord-cadre prévoit également de renforcer les qualifications grâce à des parcours de formation réalisés notamment par des Actions de formation préalables à l'embauche (AFPE) et à des contrats de professionnalisation pour les jeunes.
Mais ce n'est pas tout ! «La Capeb et l'ANPE collaboreront également pour anticiper les besoins futurs», déclarent les deux signataires dans un communiqué commun, estimant les prévisions d'embauche à 100.000 sur trois ans. Et ce, tous métiers (maçon, métalliers, serruriers, charpentiers...) et niveaux de qualification confondus.
Enfin, toujours par cet accord-cadre, les signataires s'engagent à faciliter les conditions de la reprise d'entreprise. «Dans les dix ans à venir, environ un quart des chefs d'entreprise partira à la retraite», soulignent les deux organismes. Quelque 80.000 reprises d'entreprises sur 10 ans sont ainsi prévues.
A noter que cet accord sera décliné aux niveaux régional et départemental, et ce, dans un souci d'adéquation avec les spécificités locales.
Par cet accord-cadre, les deux signataires comptent tout d'abord attirer de nouveaux publics, notamment les femmes et les jeunes non qualifiés, vers les métiers du bâtiment. Concrètement, des immersions en entreprises et des tests d'aptitude (évaluations, plates-formes de vocation') seront ainsi proposés par l'ANPE, avec le concours de la Capeb, aux candidats concernés.
Et pour une insertion durable, l'accent sera porté sur l'amélioration des conditions d'accueil et sur la mobilisation des prestations d'accompagnement dans l'emploi pour les candidats recrutés qui en auront besoin.
Cet accord-cadre prévoit également de renforcer les qualifications grâce à des parcours de formation réalisés notamment par des Actions de formation préalables à l'embauche (AFPE) et à des contrats de professionnalisation pour les jeunes.
Mais ce n'est pas tout ! «La Capeb et l'ANPE collaboreront également pour anticiper les besoins futurs», déclarent les deux signataires dans un communiqué commun, estimant les prévisions d'embauche à 100.000 sur trois ans. Et ce, tous métiers (maçon, métalliers, serruriers, charpentiers...) et niveaux de qualification confondus.
Enfin, toujours par cet accord-cadre, les signataires s'engagent à faciliter les conditions de la reprise d'entreprise. «Dans les dix ans à venir, environ un quart des chefs d'entreprise partira à la retraite», soulignent les deux organismes. Quelque 80.000 reprises d'entreprises sur 10 ans sont ainsi prévues.
A noter que cet accord sera décliné aux niveaux régional et départemental, et ce, dans un souci d'adéquation avec les spécificités locales.
