A l'occasion de la présentation des résultats de Laforêt Immobilier, Bernard de Crémiers, coprésident fondateur de la société, a affirmé mercredi que « les prix de l'immobilier ne baisseront pas en 2007 ».
Selon Bernard de Crémiers, les prix de l’immobilier ne baisseront pas l’année prochaine. Le coprésident fondateur de la société donne plusieurs raisons « subjectives » et « objectives » à cette affirmation.
Bernard de Crémiers a évoqué dans un premier temps « le nouvel attrait pour la pierre chez les Français », analysant une « vague de fond » sur le modèle de ce qui existe « en Espagne et au Portugal », et ce « toutes générations confondues ».
Selon le coprésident fondateur, l’engouement pour l'immobilier en France est également partagé par les étrangers. Pour Laforêt Immobilier, « 8% des transactions se sont faites avec des acheteurs étrangers ». Et d’ajouter : « Nous en attendons le double dans 5 ans ».
Il note cependant que les Britanniques, très présents à ce jour, commencent à s’écarter du marché français pour se rapprocher du Portugal.
Concernant les raisons objectives, Bernard de Crémiers remarque « une offre qui reste faible. Nous avons connu une moyenne de 80 affaires par agence cette année, contre 250 dans les années 1990. Les besoins de logements en France ne sont pas satisfaits ». Les taux des prêts immobiliers restent en revanche attractifs car ils sont souvent un produit d'appel pour les banques.
Enfin, Bernard de Crémiers constate que « les acquéreurs sont souvent des couples où les deux travaillent, et les salaires des femmes connaissant une progression, le potentiel d'achat monte ».
Pour compenser la progression de 6,6% des prix de l'immobilier pour l'année 2006, les acquéreurs « ont choisi des surfaces plus petites en moyenne de quatre mètres carrés, et ont plus fortement négocié les prix », a-t-il conclu.
Bernard de Crémiers a évoqué dans un premier temps « le nouvel attrait pour la pierre chez les Français », analysant une « vague de fond » sur le modèle de ce qui existe « en Espagne et au Portugal », et ce « toutes générations confondues ».
Selon le coprésident fondateur, l’engouement pour l'immobilier en France est également partagé par les étrangers. Pour Laforêt Immobilier, « 8% des transactions se sont faites avec des acheteurs étrangers ». Et d’ajouter : « Nous en attendons le double dans 5 ans ».
Il note cependant que les Britanniques, très présents à ce jour, commencent à s’écarter du marché français pour se rapprocher du Portugal.
Concernant les raisons objectives, Bernard de Crémiers remarque « une offre qui reste faible. Nous avons connu une moyenne de 80 affaires par agence cette année, contre 250 dans les années 1990. Les besoins de logements en France ne sont pas satisfaits ». Les taux des prêts immobiliers restent en revanche attractifs car ils sont souvent un produit d'appel pour les banques.
Enfin, Bernard de Crémiers constate que « les acquéreurs sont souvent des couples où les deux travaillent, et les salaires des femmes connaissant une progression, le potentiel d'achat monte ».
Pour compenser la progression de 6,6% des prix de l'immobilier pour l'année 2006, les acquéreurs « ont choisi des surfaces plus petites en moyenne de quatre mètres carrés, et ont plus fortement négocié les prix », a-t-il conclu.
