Un sondage Ipsos rendu public mardi révèle que la colocation devient une tendance de plus en plus forte chez les jeunes. Une formule de logement intéressante en ces temps de hausse des loyers.
Le succès des séries télévisées, comme Friends, aura certainement rendu la colocation un peu plus attrayante en France. Très pratiquée dans les pays anglo-saxons, ce mode logement séduit en effet de plus en plus les jeunes Français, et notamment dans les grandes villes. Ainsi, tandis que 20 % des Français de 15 à 44 ans affirment avoir déjà vécu, vivre ou souhaiter vivre en colocation, 28 % des personnes n'ayant jamais testé cette formule de partage d'appartement affirment que cela les tenterait.
«Trouver une solution à la hausse des loyers», tel est le premier argument avancé par un peu plus de la moitié des sondés (52 %), et ce, qu’ils partagent ou non un appartement. Une raison encore plus vraie pour les personnes vivant en région parisienne (59 %) et pour celles qui colouent ou ont déjà coloué (61%).
En revanche, seulement 24% invoquent comme raison à ce choix «apprendre à vivre avec les autres», et seulement 20% estiment qu'il leur permet de «rompre leur solitude et se faire de nouveaux amis».
Côté profil des personnes vivant ou ayant vécu, on remarque qu’il s’agit avant tout des jeunes, la plupart diplômés. Ainsi, 28 % se situent dans la tranche 25-34 ans, contre 11 % des 15-24 ans et 19 % des 35-44 ans. Selon l’Ipsos, «les études sont [donc] certainement un moment privilégié pour ce mode de logement».
Quant au choix des personnes avec qui ils pourraient partager un appartement, près de trois-quart des sondés (71%) affairement n’avoir aucune préférence quant au sexe de la personne. Seuls 12% souhaitent ainsi partager un appartement avec quelqu’un du même sexe. Pour les jeunes, le colocataire idéal reste avant tout celui qui partage les mêmes centres d’intérêt et les mêmes modes de vie (à 75 %).
Ce sondage a été mené par Ipsos pour le compte du site appartager.com, les 22 et 23 juillet par téléphone sur un échantillon de 510 personnes âgées de 15 à 44 ans, représentatif de la population française, sélectionné selon la méthode des quotas.
«Trouver une solution à la hausse des loyers», tel est le premier argument avancé par un peu plus de la moitié des sondés (52 %), et ce, qu’ils partagent ou non un appartement. Une raison encore plus vraie pour les personnes vivant en région parisienne (59 %) et pour celles qui colouent ou ont déjà coloué (61%).
En revanche, seulement 24% invoquent comme raison à ce choix «apprendre à vivre avec les autres», et seulement 20% estiment qu'il leur permet de «rompre leur solitude et se faire de nouveaux amis».
Côté profil des personnes vivant ou ayant vécu, on remarque qu’il s’agit avant tout des jeunes, la plupart diplômés. Ainsi, 28 % se situent dans la tranche 25-34 ans, contre 11 % des 15-24 ans et 19 % des 35-44 ans. Selon l’Ipsos, «les études sont [donc] certainement un moment privilégié pour ce mode de logement».
Quant au choix des personnes avec qui ils pourraient partager un appartement, près de trois-quart des sondés (71%) affairement n’avoir aucune préférence quant au sexe de la personne. Seuls 12% souhaitent ainsi partager un appartement avec quelqu’un du même sexe. Pour les jeunes, le colocataire idéal reste avant tout celui qui partage les mêmes centres d’intérêt et les mêmes modes de vie (à 75 %).
Ce sondage a été mené par Ipsos pour le compte du site appartager.com, les 22 et 23 juillet par téléphone sur un échantillon de 510 personnes âgées de 15 à 44 ans, représentatif de la population française, sélectionné selon la méthode des quotas.
