Le numéro 1 mondial de la plomberie et du chauffage vient d'annoncer la suppression de 600 postes depuis août et un bénéfice d'exploitation en baisse de -60% sur l'année.
Wolseley connaît une année bien difficile, et annonce avoir supprimé 600 emplois et enregistré des bénéfices en baisse sur l'année.
Après avoir déjà supprimé 7.100 emplois au cours de l'année et fermé quelque 270 succursales, le groupe britannique spécialisé dans la plomberie et le chauffage - qui est très présent aux Etats-Unis - va devoir compter avec encore 600 postes en moins enregistrés depuis août. Les chiffres ne sont pas bons, il est vrai. Ainsi, le groupe enregistre un chiffre d'affaires en hausse de 2% à fin juillet (20.9 milliards d'euros), mais un bénéfice d'exploitation en chute de 60.1% à 301 millions de livres. De plus, le bénéfice net part du groupe a été divisé par plus de six, à 74 millions de dollars, ce qui fait dire à Wolseley «qu'il n'y aurait pas de dividende final».
Pour l'avenir, le groupe a précisé «qu'il a des projets supplémentaires de restructuration et de réduction des coûts» et qu'il va entreprendre «une revue de fond» de ses magasins Stock aux Etats-Unis, dont les effectifs ont déjà été réduits de plus de 40%. Toutefois, la direction reste confiante pour les mois à venir, «voyant les bénéfices de son action avec des performances meilleures que celles du marché dans de nombreux domaines».
Après avoir déjà supprimé 7.100 emplois au cours de l'année et fermé quelque 270 succursales, le groupe britannique spécialisé dans la plomberie et le chauffage - qui est très présent aux Etats-Unis - va devoir compter avec encore 600 postes en moins enregistrés depuis août. Les chiffres ne sont pas bons, il est vrai. Ainsi, le groupe enregistre un chiffre d'affaires en hausse de 2% à fin juillet (20.9 milliards d'euros), mais un bénéfice d'exploitation en chute de 60.1% à 301 millions de livres. De plus, le bénéfice net part du groupe a été divisé par plus de six, à 74 millions de dollars, ce qui fait dire à Wolseley «qu'il n'y aurait pas de dividende final».
Pour l'avenir, le groupe a précisé «qu'il a des projets supplémentaires de restructuration et de réduction des coûts» et qu'il va entreprendre «une revue de fond» de ses magasins Stock aux Etats-Unis, dont les effectifs ont déjà été réduits de plus de 40%. Toutefois, la direction reste confiante pour les mois à venir, «voyant les bénéfices de son action avec des performances meilleures que celles du marché dans de nombreux domaines».
