Vicat, le spécialiste de la production de ciment, béton et granulats, a réalisé un chiffre d'affaires s'élevant à 513 millions d'euros au premier trimestre 2011, en hausse de 28,8% par rapport à la même période en 2010. Une envolé induite par un secteur dynamique et due également à la pérennité du groupe.
Des conditions météorologiques particulièrement clémentes en Europe, une reprise économique progressive dans les pays matures confirmée, une poursuite du dynamisme des pays émergents, ainsi qu'une situation financière solide, ont permis à Vicat de réaliser une excellente performance trimestrielle. Avec un chiffre d'affaires consolidé sur le premier trimestre 2011, en hausse de 28,8% (18,2% à taux de change constants), Vicat «a enregistré un rebond significatif de son activité, bénéficiant d'un environnement sectoriel dynamique et d'une météo particulièrement favorable», a souligné la direction générale lors de l'annonce de son chiffre d'affaire trimestriel.
En effet, sur cette même période, le chiffre d'affaires de l'activité ciment a enregistré une hausse de 10,9% à périmètre et change constants tandis que les activités béton et granulats ont augmenté de 24,9% et le dernier secteur, et non des moindres, regroupant les «autres produits & services» du groupe Vicat a augmenté de 31,5%.
En effet, sur cette même période, le chiffre d'affaires de l'activité ciment a enregistré une hausse de 10,9% à périmètre et change constants tandis que les activités béton et granulats ont augmenté de 24,9% et le dernier secteur, et non des moindres, regroupant les «autres produits & services» du groupe Vicat a augmenté de 31,5%.
Malgré un chiffre d'affaires nettement en hausse, sa répartition au cours de ce premier trimestre entre les différentes activités du groupe met en avant une baisse de la contribution de l'activité ciment, qui représente désormais 52% du chiffre d'affaires consolidé contre 54% au 31 mars 2010. A noter, le chiffre d'affaires consolidé sur l'ensemble de la zone - Turquie, Inde, Kazakhstan - est de 65 millions d'euros, plus du double de l'année précédente, même si à taux de change constant cela ne représente qu'une hausse de 11,9%.