Le salon Rénover, qui se tenait à la porte de Versailles du 4 au 6 avril, a été l’occasion pour les visiteurs de découvrir des matériaux atypiques et innovants. Nid d’abeille, cotte de maille, feutre… Tour d’horizon d’un espace mis en scène par la célèbre designer Matali Crasset.
L’espace animé par materiO sur le salon Rénover a mis les sens des visiteurs en éveil et plus particulièrement la vue et le toucher.
Le centre indépendant d’information sur les matériaux et les produits innovants avait en effet décidé de présenter au grand public des matériaux insolites susceptibles d’intégrer notre intérieur : briques de verre, caoutchouc, résine, nid d’abeille... «Nous nous sommes amusés avec ces matériaux. Il faut dire qu’il y a une vraie richesse en terme de matières même si, bien sûr, toutes n’intègreront pas nos maisons» commente Quentin Hirsinger, président de l’association MateriO.
Recyclage, détournement et innovations technologiques
Le panorama se voulait le plus large possible allant de matériaux vieux de plusieurs années - par exemple un chiffon de bois fabriqué à partir d’écorces de ficus géants servant au départ de linceul et utilisé à présent en architecture d’intérieure - à des innovation technologiques avec, notamment, des panneaux décoratifs muraux transparents intégrant des feuilles électroluminescentes.
Pour rendre l’espace attractif, le centre d’information avait sollicité Matali Crasset, designer célèbre pour son excentricité, pour mettre en scène les différents matériaux sélectionnés. Cette dernière avait choisi de les présenter en situation dans les pièces d’une maison reconstituée pour l’occasion : la cuisine, le salon, la chambre, la salle de bain et les toilettes. «Elle a, dans son travail, une volonté de rester très proche de l’utilisation quotidienne du design» précise Quentin Hirsinger.
Aucune interdiction pour les visiteurs de toucher ou de manipuler. Au niveau de la salle de bain, les visiteurs se sont ainsi retrouvés avec, entre les mains, un revêtement de sol fabriqué à partir de bottes d’enfants tandis que dans le salon, ils ont également pu s’asseoir sur un matelas anti-escar en néoprène emprunté au domaine hospitalier et devenu, le temps du salon, l’assise d’un fauteuil rose aux lignes épurées. Amusée, Muriel n’a pas pu s’empêcher de revenir à la réalité : «C’est confortable mais à nettoyer cela ne doit pas être très pratique !» Il est sûr qu’avant d’intégrer les maisons, un certain nombre de modifications s’imposent !
Découvrez des matériaux originaux, en cliquant ici
Le centre indépendant d’information sur les matériaux et les produits innovants avait en effet décidé de présenter au grand public des matériaux insolites susceptibles d’intégrer notre intérieur : briques de verre, caoutchouc, résine, nid d’abeille... «Nous nous sommes amusés avec ces matériaux. Il faut dire qu’il y a une vraie richesse en terme de matières même si, bien sûr, toutes n’intègreront pas nos maisons» commente Quentin Hirsinger, président de l’association MateriO.
Recyclage, détournement et innovations technologiques
Le panorama se voulait le plus large possible allant de matériaux vieux de plusieurs années - par exemple un chiffon de bois fabriqué à partir d’écorces de ficus géants servant au départ de linceul et utilisé à présent en architecture d’intérieure - à des innovation technologiques avec, notamment, des panneaux décoratifs muraux transparents intégrant des feuilles électroluminescentes.
Pour rendre l’espace attractif, le centre d’information avait sollicité Matali Crasset, designer célèbre pour son excentricité, pour mettre en scène les différents matériaux sélectionnés. Cette dernière avait choisi de les présenter en situation dans les pièces d’une maison reconstituée pour l’occasion : la cuisine, le salon, la chambre, la salle de bain et les toilettes. «Elle a, dans son travail, une volonté de rester très proche de l’utilisation quotidienne du design» précise Quentin Hirsinger.
Aucune interdiction pour les visiteurs de toucher ou de manipuler. Au niveau de la salle de bain, les visiteurs se sont ainsi retrouvés avec, entre les mains, un revêtement de sol fabriqué à partir de bottes d’enfants tandis que dans le salon, ils ont également pu s’asseoir sur un matelas anti-escar en néoprène emprunté au domaine hospitalier et devenu, le temps du salon, l’assise d’un fauteuil rose aux lignes épurées. Amusée, Muriel n’a pas pu s’empêcher de revenir à la réalité : «C’est confortable mais à nettoyer cela ne doit pas être très pratique !» Il est sûr qu’avant d’intégrer les maisons, un certain nombre de modifications s’imposent !
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