Lors de l'assemblée générale des actionnaires de Saint-Gobain, Jean-Louis Beffa, pdg du groupe a confirmé ses prévisions prudentes pour l'exercice 2002.
"Notre objectif est une croissance du résultat net, hors plus-values, comprise entre 0% et 4% dans la mesure où la reprise (de l'économie mondiale) se confirmerait au deuxième semestre 2002", a déclaré le Pdg de Saint-Gobain, Jean-Louis Beffa cité par l'AFP.
Evoquant le "scénario de reprise modérée" de l'économie mondiale retenu en janvier par le groupe lors de l'annonce de ses prévisions, M. Beffa a rappelé que Saint-Gobain avait alors tablé sur un "redémarrage progressif de l'économie américaine à partir la fin du premier semestre" 2002, ainsi que, en Europe, sur une stabilisation de la construction neuve, une poursuite de la croissance du marché de la rénovation et de la consommation en général.
"Ce scénario est en train de se concrétiser", a estimé M. Beffa. En Allemagne, après le ralentissement des derniers mois, "le plancher semble avoir été atteint", a ajouté M. Beffa.
Considérant que "les métiers de Saint-Gobain sont particulièrement bien positionnés pour profiter de la reprise", le Pdg a insisté sur sa "grande confiance dans l'avenir" du groupe.
Le groupe a "profondément changé ces dix dernières années" en gagnant une "meilleure résistance aux cycles" grâce à des marchés et une présence géographique équilibrés, a souligné M. Beffa. "Saint-Gobain est beaucoup plus résistant, beaucoup plus solide", a-t-il jugé.
Notons que Jean-Marie Messier, Pdg du groupe français Vivendi Universal, a démissionné de son mandat d'administrateur de Saint-Gobain. Sa démission sera effective vendredi, "comme moi-même j'avais présenté ma démission du conseil d'administration de Vivendi Universal avec effet le lendemain", a précisé M. Beffa.
En attendant l'achèvement des opérations de cession des participations croisées des deux groupes, Saint-Gobain détient encore 12 millions d'actions Vivendi Universal qu'il entend toujours céder, mais quand "le cours de Bourse sera favorable", a rappelé M. Beffa, qui a "rendu hommage aux représentants de ce groupe au conseil d'administration de Saint-Gobain" en citant Guy Dejouanny (ancien patron de l'ex-Compagnie générale des eaux devenue Vivendi) et son successeur, M. Messier.
Evoquant le "scénario de reprise modérée" de l'économie mondiale retenu en janvier par le groupe lors de l'annonce de ses prévisions, M. Beffa a rappelé que Saint-Gobain avait alors tablé sur un "redémarrage progressif de l'économie américaine à partir la fin du premier semestre" 2002, ainsi que, en Europe, sur une stabilisation de la construction neuve, une poursuite de la croissance du marché de la rénovation et de la consommation en général.
"Ce scénario est en train de se concrétiser", a estimé M. Beffa. En Allemagne, après le ralentissement des derniers mois, "le plancher semble avoir été atteint", a ajouté M. Beffa.
Considérant que "les métiers de Saint-Gobain sont particulièrement bien positionnés pour profiter de la reprise", le Pdg a insisté sur sa "grande confiance dans l'avenir" du groupe.
Le groupe a "profondément changé ces dix dernières années" en gagnant une "meilleure résistance aux cycles" grâce à des marchés et une présence géographique équilibrés, a souligné M. Beffa. "Saint-Gobain est beaucoup plus résistant, beaucoup plus solide", a-t-il jugé.
Notons que Jean-Marie Messier, Pdg du groupe français Vivendi Universal, a démissionné de son mandat d'administrateur de Saint-Gobain. Sa démission sera effective vendredi, "comme moi-même j'avais présenté ma démission du conseil d'administration de Vivendi Universal avec effet le lendemain", a précisé M. Beffa.
En attendant l'achèvement des opérations de cession des participations croisées des deux groupes, Saint-Gobain détient encore 12 millions d'actions Vivendi Universal qu'il entend toujours céder, mais quand "le cours de Bourse sera favorable", a rappelé M. Beffa, qui a "rendu hommage aux représentants de ce groupe au conseil d'administration de Saint-Gobain" en citant Guy Dejouanny (ancien patron de l'ex-Compagnie générale des eaux devenue Vivendi) et son successeur, M. Messier.