L'Agence nationale de rénovation urbaine (ANRU) a signé avec la ville de Saint-Étienne une convention de rénovation de l'habitat. Pour la première fois, cette convention concerne non seulement l'habitat social des quartiers périphériques, mais aussi ceux de centre ville, en copropriété.
Les quatre quartiers pour la rénovation desquels l'ANRU apportera 54 millions d'euros, sur les 212 millions qui seront engagés d'ici 2008 dans la ville, ont pour point commun leur état de dégradation, mais deux d'entre eux, situés dans le centre ville, sont constitués en majorité d'habitation en copropriété.
Le directeur adjoint de l'ANRU, Claude Doussiet, a déclaré que cette 40ème convention, en collaboration avec l'Agence nationale de l'amélioration de l'habitat (ANAH), était «la première à comporter un tel programme en faveur de la rénovation de l'habitat ancien». Il a d'ailleurs souligné que l'ANRU n'interviennent pas directement auprès des propriétaires privés : «nous ne nous substituons pas à l'ANAH, les quartiers d'habitat social restent notre priorité».
Toutefois, c'est pour répondre à la demande de nombreux élus locaux, que l'ANRU a décidé en 2004 d'aider à la rénovation de ces quartiers, dont certains sont classés en Zone urbaine sensible (ZUS), avec un taux de vacance élevé, et où il existe parfois une misère encore plus grande que dans les quartiers d'habitat social, avec des propriétaires impécunieux, des «marchands de sommeil», des squats, de l'insalubrité, a expliqué de directeur adjoint de l'Agence.
L'ANRU réunit les partenaires de la rénovation, Etat, partenaires sociaux du 1% logement, Caisse des dépôts, HLM. Elle a pour mission de soutenir financièrement les politiques de rénovation urbaine dans les zones urbaines «sensibles». A ce jour, 94 dossiers d'aide de l'ANRU ont été approuvés, représentant un engagement financier de l'agence de 3,1 milliards d'euros, et plus de 10 milliards de travaux subventionnables.
Le directeur adjoint de l'ANRU, Claude Doussiet, a déclaré que cette 40ème convention, en collaboration avec l'Agence nationale de l'amélioration de l'habitat (ANAH), était «la première à comporter un tel programme en faveur de la rénovation de l'habitat ancien». Il a d'ailleurs souligné que l'ANRU n'interviennent pas directement auprès des propriétaires privés : «nous ne nous substituons pas à l'ANAH, les quartiers d'habitat social restent notre priorité».
Toutefois, c'est pour répondre à la demande de nombreux élus locaux, que l'ANRU a décidé en 2004 d'aider à la rénovation de ces quartiers, dont certains sont classés en Zone urbaine sensible (ZUS), avec un taux de vacance élevé, et où il existe parfois une misère encore plus grande que dans les quartiers d'habitat social, avec des propriétaires impécunieux, des «marchands de sommeil», des squats, de l'insalubrité, a expliqué de directeur adjoint de l'Agence.
L'ANRU réunit les partenaires de la rénovation, Etat, partenaires sociaux du 1% logement, Caisse des dépôts, HLM. Elle a pour mission de soutenir financièrement les politiques de rénovation urbaine dans les zones urbaines «sensibles». A ce jour, 94 dossiers d'aide de l'ANRU ont été approuvés, représentant un engagement financier de l'agence de 3,1 milliards d'euros, et plus de 10 milliards de travaux subventionnables.