La première société d'investissement régional pour le renouvellement urbain en France vient de voir le jour dans le Nord-Pas-de-Calais. Son nom : Batixia. Sa mission : apporter des financements publics à des projets immobiliers privés dans les sites urbains en difficulté.
Batixia s'occupera donc des opérations de restructuration de sites urbains dans les zones d'habitat social, quartiers anciens ou friches urbaines dans la région Nord-Pas-de-Calais
De ce point de vue, cette région constitue un laboratoire de choix pour cette intervention du fait de la forte densité de sites en difficulté avec notamment la banlieue nord-est de Lille (Roubaix, Tourcoing, Wattrelos) et l'ancien bassin minier.
"Beaucoup d'argent a été mis sur le traitement social de cette misère urbaine. Aujourd'hui, nous introduisons le traitement économique", a synthétisé Daniel Percheron, président socialiste du conseil régional.
Ainsi, Batixia devrait apporter une certaine sécurité aux investisseurs privés en partageant des risques et en soutenantles dossiers de financement bancaire.
Le capital de Batixia s'élève à 20 millions d'euros. Les fonds sont apportés à 41% par Batixis, filiale de la SDR (Société de développement régional), à 34% par le Conseil régional et à 25% par la Caisse des dépôts et consignations.
De ce point de vue, cette région constitue un laboratoire de choix pour cette intervention du fait de la forte densité de sites en difficulté avec notamment la banlieue nord-est de Lille (Roubaix, Tourcoing, Wattrelos) et l'ancien bassin minier.
"Beaucoup d'argent a été mis sur le traitement social de cette misère urbaine. Aujourd'hui, nous introduisons le traitement économique", a synthétisé Daniel Percheron, président socialiste du conseil régional.
Ainsi, Batixia devrait apporter une certaine sécurité aux investisseurs privés en partageant des risques et en soutenantles dossiers de financement bancaire.
Le capital de Batixia s'élève à 20 millions d'euros. Les fonds sont apportés à 41% par Batixis, filiale de la SDR (Société de développement régional), à 34% par le Conseil régional et à 25% par la Caisse des dépôts et consignations.