Suite à la crise économique et financière, le groupe spécialisé dans la location de matériel de BTP, Loxam, souhaite la mise en place de ruptures de contrat à l'amiable. La direction du groupe n'avait pas réagi vendredi.
Alors que la crise touche de plein fouet le secteur du BTP, Loxam souhaiterait des ruptures de contrat à l'amiable, selon une information provenant de la CFTC et de la CFDT.
D'ailleurs, un accord aurait été signé et concernerait quelque 2.500 salariés du groupe depuis le 1er janvier. Cet accord que s'est procuré l'AFP spécifierait que «compte tenu de la conjoncture, la société accepte, pour une durée limitée, d'examiner les demandes des salariés qui souhaiteraient quitter l'entreprise dans le cadre d'une rupture conventionnelle de leur contrat de travail». Avant d'ajouter : «En cas de réponse favorable et sous réserve d'avoir déposé leur demande par écrit d'ici le vendredi 13 février 2009 au plus tard, il serait accordé une indemnité supplémentaire équivalent à un mois de salaire brut, avec un minimum de deux mille euros». La CFDT déclare dans un communiqué que «ce mode de rupture de contrat de travail ne peut pas être utilisé en cas de difficultés économiques (…)La loi a été faite pour régler des problèmes individuels, pas des départs collectifs». De son côté, la direction de Loxam contactée par l'AFP n'a pas réagi.
D'ailleurs, un accord aurait été signé et concernerait quelque 2.500 salariés du groupe depuis le 1er janvier. Cet accord que s'est procuré l'AFP spécifierait que «compte tenu de la conjoncture, la société accepte, pour une durée limitée, d'examiner les demandes des salariés qui souhaiteraient quitter l'entreprise dans le cadre d'une rupture conventionnelle de leur contrat de travail». Avant d'ajouter : «En cas de réponse favorable et sous réserve d'avoir déposé leur demande par écrit d'ici le vendredi 13 février 2009 au plus tard, il serait accordé une indemnité supplémentaire équivalent à un mois de salaire brut, avec un minimum de deux mille euros». La CFDT déclare dans un communiqué que «ce mode de rupture de contrat de travail ne peut pas être utilisé en cas de difficultés économiques (…)La loi a été faite pour régler des problèmes individuels, pas des départs collectifs». De son côté, la direction de Loxam contactée par l'AFP n'a pas réagi.