Selon le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, il sera nécessaire de "hiérarchiser" les différents projets TGV. En visite à Besançon, il a toutefois a tenu à rassurer les élus de Franche-Comté sur l'avenir du projet de TGV Rhin-Rhône.
Jean-Pierre Raffarin s'est voulu rassurant lundi auprès des élus de Franche-Comté sur l'avenir du projet de TGV Rhin-Rhône, en soulignant qu'il avait "bien l'intention de suivre les engagements" du président Jacques Chirac.
"Je connais l'importance structurante pour votre région de cette infrastructure (..) Ne soyez pas inquiets", a-t-il déclaré à l'Hôtel de Ville de Besançon (Doubs) à l'occasion d'un déplacement dans le cadre des Etats généraux du Sport.
Le maire socialiste de Besançon, Jean-Louis Fousseret, s'était auparavant fait l'avocat du projet, demandant au Premier ministre qu'il "ne souffre ni d'une remise en cause ni même d'un retard dans sa réalisation".
"Le 6 mars 1996, à Besançon, Jacques Chirac, Président de la République, évoquait le dossier du TGV Rhin-Rhône et sa nécessité. Il indiquait que la décision était effectivement prise de réaliser cette infrastructure", a rappelé le maire.
"Je vous rassure, le message est reçu cinq sur cinq (...) J'ai bien l'intention de suivre les engagements de Jacques Chirac", a répondu Jean-Pierre Raffarin.
Le Premier ministre a toutefois souligné que beaucoup de projets de TGV avaient été annoncés. "Il nous faudra hiérarchiser évidemment l'ensemble de ces structures. C'est pourquoi nous saisirons le Parlement pour que des priorités puissent être établies", a-t-il souligné.
Rappelons que le gouvernement a lancé en août un audit sur les projets de liaisons ferroviaires, routières et fluviales, afin de définir une politique générale du transport. Cet audit doit être réalisé avant le 31 décembre et être suivi d'un débat au Parlement.
Le TGV Rhin-Rhône est le "maillon manquant pour relier l'Europe du Nord et celle du Sud, la mer du Nord et la mer Méditerranée", a insisté le maire de Besançon.
C'est un "projet déjà très avancé qui pourrait permettre une mise en service dès 2008 et qui remplit des conditions de coût et de rentabilité socio-économiques tout à fait satisfaisantes comparativement à d'autres projets", a ajouté M. Fousseret.
"Je connais l'importance structurante pour votre région de cette infrastructure (..) Ne soyez pas inquiets", a-t-il déclaré à l'Hôtel de Ville de Besançon (Doubs) à l'occasion d'un déplacement dans le cadre des Etats généraux du Sport.
Le maire socialiste de Besançon, Jean-Louis Fousseret, s'était auparavant fait l'avocat du projet, demandant au Premier ministre qu'il "ne souffre ni d'une remise en cause ni même d'un retard dans sa réalisation".
"Le 6 mars 1996, à Besançon, Jacques Chirac, Président de la République, évoquait le dossier du TGV Rhin-Rhône et sa nécessité. Il indiquait que la décision était effectivement prise de réaliser cette infrastructure", a rappelé le maire.
"Je vous rassure, le message est reçu cinq sur cinq (...) J'ai bien l'intention de suivre les engagements de Jacques Chirac", a répondu Jean-Pierre Raffarin.
Le Premier ministre a toutefois souligné que beaucoup de projets de TGV avaient été annoncés. "Il nous faudra hiérarchiser évidemment l'ensemble de ces structures. C'est pourquoi nous saisirons le Parlement pour que des priorités puissent être établies", a-t-il souligné.
Rappelons que le gouvernement a lancé en août un audit sur les projets de liaisons ferroviaires, routières et fluviales, afin de définir une politique générale du transport. Cet audit doit être réalisé avant le 31 décembre et être suivi d'un débat au Parlement.
Le TGV Rhin-Rhône est le "maillon manquant pour relier l'Europe du Nord et celle du Sud, la mer du Nord et la mer Méditerranée", a insisté le maire de Besançon.
C'est un "projet déjà très avancé qui pourrait permettre une mise en service dès 2008 et qui remplit des conditions de coût et de rentabilité socio-économiques tout à fait satisfaisantes comparativement à d'autres projets", a ajouté M. Fousseret.