Pour Noël, Alain Robert, dit "Spiderman", est bien décidé à s'offrir un cadeau de taille. Samedi 25 décembre, il entreprendra d'escalader à mains nues Taipei 101, le plus haut gratte-ciel du monde.
Alain Robert - qui a eu raison de plus de 70 gratte-ciels aussi célèbres que l'Empire State Building, la Tour Sears de Chicago, la Tour Eiffel ou dernièrement la tour Montparnasse - va tenter samedi d'escalader les 101 étages de Taipei pour marquer le lancement des festivités accompagnant son ouverture, prévue le 31 décembre ont annoncé les gestionnaires de l'immeuble.
Le Français, âgé de 42 ans, doit commencer son ascension à 09h45 locales (01h45 GMT) pour atteindre le sommet de la tour, haute de 508 mètres, environ deux heures et demie plus tard, selon la direction du bâtiment.
En 1997, Alain Robert a déjà tenté d'inscrire la plus haute tour du monde à son palmarès (à l'époque les Petronas Twin Towers Kuala Lumpur avec 451 mètres) mais les policiers réussiront à le capturer par une fenêtre ouverte à 340 mètres du sol.
"Les médias m'ont donné le surnom de «Spiderman», mais lorsque je m'attaque à un gratte-ciel, ce n'est pas du cinéma : il n'y a pas d'effets spéciaux ou de toile de protection !" explique Alain Robert. D'ailleurs, à 20 ans, à la suite de deux accidents graves au cours d'entraînements, les médecins lui annoncent qu'il ne pourra plus jamais grimper. Mais deux ans après, il grimpe à nouveau et dépasse ses propres performances . Il découvre ce qui va devenir pour lui une façon de voir la vie : le solo intégral. Il est aujourd'hui le meilleur grimpeur solo au monde et unique grimpeur urbain malgré le vertige et 60 % d'invalidité.
Le Français, âgé de 42 ans, doit commencer son ascension à 09h45 locales (01h45 GMT) pour atteindre le sommet de la tour, haute de 508 mètres, environ deux heures et demie plus tard, selon la direction du bâtiment.
En 1997, Alain Robert a déjà tenté d'inscrire la plus haute tour du monde à son palmarès (à l'époque les Petronas Twin Towers Kuala Lumpur avec 451 mètres) mais les policiers réussiront à le capturer par une fenêtre ouverte à 340 mètres du sol.
"Les médias m'ont donné le surnom de «Spiderman», mais lorsque je m'attaque à un gratte-ciel, ce n'est pas du cinéma : il n'y a pas d'effets spéciaux ou de toile de protection !" explique Alain Robert. D'ailleurs, à 20 ans, à la suite de deux accidents graves au cours d'entraînements, les médecins lui annoncent qu'il ne pourra plus jamais grimper. Mais deux ans après, il grimpe à nouveau et dépasse ses propres performances . Il découvre ce qui va devenir pour lui une façon de voir la vie : le solo intégral. Il est aujourd'hui le meilleur grimpeur solo au monde et unique grimpeur urbain malgré le vertige et 60 % d'invalidité.
