Selon la société gérant l'immobilier olympique grec, pas moins de 13 sociétés grecques ont répondu à l'appel d'offres international lancé pour la réutilisation du centre de voile des jeux Olympiques d'Athènes d'août 2004, situé à Aghios Cosmas, banlieue balnéaire du sud de la ville.
Considéré comme l'un de sites olympiques le plus rentable du fait sa situation sur la façade touristique d'Athènes à l'entrée du golfe Saronique, cette installation d'une surface de 42,5 hectares doit abriter une marina, un centre commercial et de loisirs, des installations culturelles et sportives et un hôtel de luxe, soit des constructions de 62.730 m2 au total.
Jusqu'ici aucun des sites olympiques, dont la plupart restent abandonnés faute d'avoir encore trouvés de débouchés plus d'un an après le déroulement des Jeux, n'a suscité autant d'intérêt que le site d'Aghios Cosmas.
Face aux critiques sur les retards pris dans les décisions de réutilisation des sites olympiques, la société assurant la gestion de la quinzaine de sites construits pour les Jeux reste optimiste, ajoutant que la procédure suivie jusqu'ici sera faite «au profit de la société et de l'économie du pays».
Après avoir organisé les Jeux les plus coûteux dans l'histoire olympique - 13 mds d'euros -, ayant contribué à la hausse du déficit public (6,6% du PIB en 2004), la Grèce peine toujours à rentabiliser les installations sportives dont le coût d'entretien est estimé à 100 millions euros par an.
Jusqu'ici aucun des sites olympiques, dont la plupart restent abandonnés faute d'avoir encore trouvés de débouchés plus d'un an après le déroulement des Jeux, n'a suscité autant d'intérêt que le site d'Aghios Cosmas.
Face aux critiques sur les retards pris dans les décisions de réutilisation des sites olympiques, la société assurant la gestion de la quinzaine de sites construits pour les Jeux reste optimiste, ajoutant que la procédure suivie jusqu'ici sera faite «au profit de la société et de l'économie du pays».
Après avoir organisé les Jeux les plus coûteux dans l'histoire olympique - 13 mds d'euros -, ayant contribué à la hausse du déficit public (6,6% du PIB en 2004), la Grèce peine toujours à rentabiliser les installations sportives dont le coût d'entretien est estimé à 100 millions euros par an.