Les chiffres communiqués par le ministère de lEcologie indiquent que lindice des prix des travaux dentretien-amélioration des logements a augmenté de 1,1% au deuxième trimestre 2008. Ils sont tirés par les secteurs de la maçonnerie et de la plomberie.
Lindice des prix des travaux dentretien-amélioration des logements (IPEA) corrigé des variations saisonnières a augmente de 1,1 % au deuxième trimestre 2008, selon les résultats publiés mercredi par le ministère de lEcologie, de lEnergie, du Développement durable et de lAménagement du territoire. Cela représente une progression à un rythme proche de celui observé depuis début 2006, si lon excepte le premier trimestre 2008 (+ 1,4 %). Lindice des coûts correspondant (BT50) était, pour sa part, en hausse de 1,6 % au deuxième trimestre 2008.
Deux familles de travaux ont connu des hausses plus importantes que la moyenne : il sagit de la maçonnerie (+1,9%) et de plomberie (+1,5%). En revanche, les hausses les plus faibles sont intervenues dans les secteurs de la peinture/revêtement (+0,4%) et de la plâtrerie (+0,5 %).
A noter que les évolutions de lIPEA sont désormais aussi publiées en données corrigées des variations saisonnières (CVS). En effet, selon le Meedat, «lindice brut, non corrigé, accélère chaque année au premier trimestre parce que les entreprises procèdent, au 1er janvier, à un réajustement de leurs prix en fonction des coûts, et ce même en labsence de tensions sur le marché de lentretien-amélioration. Tout effet saisonnier étant en revanche éliminé de lindice CVS, ses évolutions ou inflexions reflètent uniquement les éventuelles tensions sur ce marché».
Deux familles de travaux ont connu des hausses plus importantes que la moyenne : il sagit de la maçonnerie (+1,9%) et de plomberie (+1,5%). En revanche, les hausses les plus faibles sont intervenues dans les secteurs de la peinture/revêtement (+0,4%) et de la plâtrerie (+0,5 %).
A noter que les évolutions de lIPEA sont désormais aussi publiées en données corrigées des variations saisonnières (CVS). En effet, selon le Meedat, «lindice brut, non corrigé, accélère chaque année au premier trimestre parce que les entreprises procèdent, au 1er janvier, à un réajustement de leurs prix en fonction des coûts, et ce même en labsence de tensions sur le marché de lentretien-amélioration. Tout effet saisonnier étant en revanche éliminé de lindice CVS, ses évolutions ou inflexions reflètent uniquement les éventuelles tensions sur ce marché».