Fort d’un chiffre d’affaires en hausse de 27 % en 2004 (à 69,5 millions d’euros), le spécialiste de la menuiserie industrielle, filiale du groupe vendéen Briand, s’affirme aujourd’hui comme le numéro un du marché français de la fenêtre alu dans l’habitat.
Tout va bien pour K. Line. La menuiserie industrielle poursuit sa croissance avec une progression de 30 % entre 2002 et 2004. Et ce, alors que le marché de la fenêtre progresse de 7 %.
Mais K. Line ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Après avoir investi 18 millions d'euros entre 1997 et 2002 dans une usine de 24.000 m2 aux Herbiers (85), elle compte aujourd’hui se doter d'une seconde usine. Si le site n’a pas encore été décidé, ce projet industriel de grande envergure pourrait voir le jour sur le site du nouveau siège social de la société inauguré jeudi, où une emprise de 8 hectares vient d’être acquise, selon Les Echos.
A ce jour, K. Line dispose d'une capacité d eproduction de 1000 fenêtres par jour.
Quant à l’avenir, la société table sur un chiffre d’affaires de 80 millions d’euros en 2005 et 100 millions d’euros en 2004.
Mais K. Line ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Après avoir investi 18 millions d'euros entre 1997 et 2002 dans une usine de 24.000 m2 aux Herbiers (85), elle compte aujourd’hui se doter d'une seconde usine. Si le site n’a pas encore été décidé, ce projet industriel de grande envergure pourrait voir le jour sur le site du nouveau siège social de la société inauguré jeudi, où une emprise de 8 hectares vient d’être acquise, selon Les Echos.
A ce jour, K. Line dispose d'une capacité d eproduction de 1000 fenêtres par jour.
Quant à l’avenir, la société table sur un chiffre d’affaires de 80 millions d’euros en 2005 et 100 millions d’euros en 2004.
