Suite et fin du feuilleton sur les partenariats public-privé (PPP). Tous les obstacles sont enfin levés après le rejet vendredi dernier par le Conseil dEtat de toutes les requêtes dirigées contre les PPP.
Le Journal Officiel avait déjà levé un premier obstacle le 21 octobre en publiant le décret « portant création de la mission dappui à la réalisation des contrats de partenariat ».
Une semaine plus tard, la publication dans le JO dun décret définissant les modalités de publicité requise par la nouvelle procédure, levait un second obstacle.
Mais cest finalement vendredi dernier que le dernier verrou à sauté, suite au rejet par le Conseil dEtat devant la haute juridiction administrative de toutes les requêtes dirigées contre lordonnance des PPP par la FNSER, un groupe de 61 sénateurs PS, lUnion nationale des syndicats français darchitectes et le Syndicat national du second uvre.
Pourtant, certains des requérants estimaient notamment que lordonnance rendait impossible laccès des architectes et des PME aux contrats de partenariat.
Des estimations réfutées par le Conseil dEtat qui sest justifié en sappuyant sur la validation du projet dordonnance par le Conseil constitutionnel en juin 2003.
Par rapport à cette décision, le Syndicat National des Entreprises du Second Oeuvre (SNSO) na pas manqué de diffuser un communiqué pour faire part dune « déception nuancée dune satisfaction certaine ». En effet, selon le SNSO, « le Conseil dEtat réinterprète lordonnance de telle sorte que lusage des contrats de partenariat ne puisse pas se banaliser comme une absence de garde-fous laurait permis ». Par contre le Syndicat « soffusque du camouflet infligé au Parlement par le Conseil dEtat qui retient une ratification implicite de lordonnance pour les marchés de lEtat du fait se sa mention inattendue au détour dun article sur la loi relative à la santé du 9 août 2004 ».
Le rejet par le Conseil d'Etat de la requête du groupe socialiste au Sénat laisse aux parlementaires la possibilité d'introduire un recours devant le Conseil constitutionnel, une fois adoptée par le Parlement la loi de simplification du droit, qui intègre l'ordonnance sur les PPP.
Rappelons enfin que lidée des PPP est de faire financer certains grands équipements publics tels que les hôpitaux, les prisons, les commissariats ou les établissements scolaires par le secteur privé.
Une semaine plus tard, la publication dans le JO dun décret définissant les modalités de publicité requise par la nouvelle procédure, levait un second obstacle.
Mais cest finalement vendredi dernier que le dernier verrou à sauté, suite au rejet par le Conseil dEtat devant la haute juridiction administrative de toutes les requêtes dirigées contre lordonnance des PPP par la FNSER, un groupe de 61 sénateurs PS, lUnion nationale des syndicats français darchitectes et le Syndicat national du second uvre.
Pourtant, certains des requérants estimaient notamment que lordonnance rendait impossible laccès des architectes et des PME aux contrats de partenariat.
Des estimations réfutées par le Conseil dEtat qui sest justifié en sappuyant sur la validation du projet dordonnance par le Conseil constitutionnel en juin 2003.
Par rapport à cette décision, le Syndicat National des Entreprises du Second Oeuvre (SNSO) na pas manqué de diffuser un communiqué pour faire part dune « déception nuancée dune satisfaction certaine ». En effet, selon le SNSO, « le Conseil dEtat réinterprète lordonnance de telle sorte que lusage des contrats de partenariat ne puisse pas se banaliser comme une absence de garde-fous laurait permis ». Par contre le Syndicat « soffusque du camouflet infligé au Parlement par le Conseil dEtat qui retient une ratification implicite de lordonnance pour les marchés de lEtat du fait se sa mention inattendue au détour dun article sur la loi relative à la santé du 9 août 2004 ».
Le rejet par le Conseil d'Etat de la requête du groupe socialiste au Sénat laisse aux parlementaires la possibilité d'introduire un recours devant le Conseil constitutionnel, une fois adoptée par le Parlement la loi de simplification du droit, qui intègre l'ordonnance sur les PPP.
Rappelons enfin que lidée des PPP est de faire financer certains grands équipements publics tels que les hôpitaux, les prisons, les commissariats ou les établissements scolaires par le secteur privé.