La nouvelle loi anti-immigration introduite le 1er août en Malaisie se heurte au mécontentement des patrons du bâtiment, qui se plaignent du manque de main-d'oeuvre qu'engendre cette législation.
Les patrons du bâtiment ont souligné que l'interdiction faite aux immigrés clandestins, notamment indonésiens, allait retarder leurs projets et leur coûter des millions de dollars tout en provoquant une augmentation allant jusqu'à 10% des prix des constructions.
Face à cette protestation, un responsable gouvernemental a déclaré que l'interdiction faite aux clandestins de travailler dans le bâtiment allait sans doute être levée, le secteur ayant été durement touché par la mesure.
Selon la nouvelle législation, introduite le 1er août, quiconque séjourne sans permis ou abrite des immigrants illégaux est passible de six mois de prison minimum et risque jusqu'à six coups de canne. Cette loi a provoqué l'exode de dizaines de milliers de clandestins en quelques jours.
La protestation patronale est survenue après que 13 immigrés illégaux, en majorité indonésiens, sont devenus les premières victimes de la loi. Selon le patronat, les clandestins indonésiens représentent quelque 70% du demi-million de travailleurs que compte l'industrie du bâtiment.
Face à cette protestation, un responsable gouvernemental a déclaré que l'interdiction faite aux clandestins de travailler dans le bâtiment allait sans doute être levée, le secteur ayant été durement touché par la mesure.
Selon la nouvelle législation, introduite le 1er août, quiconque séjourne sans permis ou abrite des immigrants illégaux est passible de six mois de prison minimum et risque jusqu'à six coups de canne. Cette loi a provoqué l'exode de dizaines de milliers de clandestins en quelques jours.
La protestation patronale est survenue après que 13 immigrés illégaux, en majorité indonésiens, sont devenus les premières victimes de la loi. Selon le patronat, les clandestins indonésiens représentent quelque 70% du demi-million de travailleurs que compte l'industrie du bâtiment.