Le salon Artibat, qui se déroulait à Nantes du 24 au 26 avril, a attiré plus de 16.000 visiteurs, des professionnels du gros œuvre venus du grand Ouest. Un bilan en demi-teinte pour ce salon organisé pour la première fois en deux parties.

16.150 professionnels du BTP et du paysage ont poussé les portes du parc de le Beaujoire, à Nantes, du 24 au 26 avril à l’occasion du salon Artibat. Cette édition était un peu particulière, puisque pour la première fois le salon était scindé en deux éditions : celle-ci a été centrée sur le gros œuvre, réunissant maçonnerie, charpente, ossature bois, isolation mais aussi travaux publics et paysage. L’édition consacrée au second œuvre et à l’équipement se déroulera du 4 au 6 décembre.

«Malgré un renfort considérable de la communication, certains professionnels n’ont pas intégré le fait que ce premier rendez-vous n’était pas dans la dimension des éditions précédentes», expliquent les organisateurs qui ont scindé le salon en deux rendez-vous afin de ne pas souffrir du manque de place des éditions précédentes. «Certains visiteurs (charpentiers-menuisiers, serruriers-métalliers, par exemple) n’ont pas forcément vu qu’ils pouvaient être concernés par les 2 salons, et ne sont pas venus cette fois-ci. D’autant que la météo très favorable a certainement freiné certains visiteurs». Les conférences ont cependant attiré près de 500 participants, et la plateforme éco-construction mise en place par la Capeb a «rempli son objectif qui était de sensibiliser, responsabiliser et mobiliser les professionnels de la filière», sur les thématiques environnementales dans le bâtiment.

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